« Désormais j’entre dans les gares par effraction, par l’arrière, du côté des grelots des passages à niveau, du côté des friches rebelles, des voies déposées, des wagons à l’abandon, sombrant dans les herbes folles et les souvenirs qui s’éteignent«
Michel Baglin, Un présent qui s’absente, éditions Bruno Doucey, 2013, p 43